Victor Sommerset

« La loi est juste, nécessairement »



Fils du maire de Copenholm

Âge : 19 ans
Nationalité : Américaine
Statut / Profession: Etudiant en droit
Situation financière: Aisée, notamment grâce à son père
Quartier de résidence: Le 1er arrondissement
Quartier de prédilection: Le 5ème arrondissement

Qualités & défauts : Décidé - Sincère - Minutieux - Intransigeant - Manichéen - Rancunier
Feat : (négociable)
Alias : Morphée
Pouvoir : Contrôle des rêves
Est dans l'illégalité puisqu' : utilise son pouvoir afin d'obtenir des informations, de suggérer des idées, à certaines personnes, des cibles, contre de grosses sommes d'argent. Les gens haut-placés, richissimes, voulant tirer les ficelles dans l'ombre; ses clients ne manquent pas. Cependant, les rêves sont cryptés, fantasques, peuvent reprendre le contrôle, il lui faut donc énormément de temps pour n'avoir ne serait-ce qu'une information.

Super-costume : Elle prend l'apparence d'une jeune femme rousse ....
Costume feat (non obligatoire):
”T'es le fils du maire et comme si ça suffisait pas, t'as un super povoir !” C'est le genre de phrase qu'on te dit tous les jours, le genre de pique convenue qui t'énerve sans que tu le montres vraiment. Parce que oui, tu as beau être un Somerset, tu sais que tu n'as pas volé ta place, que tu n'es pas arrivé là par hasard ou par la simple grâce de ton nom. C'était peut-être vrai quand tu étais un gamin, et tu trouvais ça plutôt cool que tout le monde soit sympa avec toi. Mais maintenant tu as grandi et tu ne veux plus dépendre de ton nom, ni de ton père, ni de qui que ce soit d'ailleurs. Déjà, ton père… quelle vaste blague. Il n'a pas pu se contenter de diriger la ville, il a fallu qu'il fasse reposer le reste de ses ambitions sur toi. Rien que le fait qu'il t'ait nommé Victor, le vainqueur… Tu es sûr que ce n'est pas un hasard. Ta soeur Alanna dit que tu vois vraiment le mal partout, mais en même temps, qui mieux que toi peut réaliser que c'est vrai ? Le mal est vraiment partout, prenant ses aises dans chaque quartier, chaque ruelle, chaque ombre. Tu en as conscience et tu te demandes parfois si les autres ne sont pas aveugles pour ignorer cet état de fait. Du coup, c'était une évidence pour toi, de te lancer dans des études en droit. Tu as bossé comme un forcené pour être admis dans l'école de tes rêves, et maintenant que tu y es tu profites pleinement de cette double casquette de justicier de jour comme de nuit. Car ce pouvoir, tu n'as même pas eu besoin de te poser la question pour savoir qu'il serait au service du bien. Voyager par les ombres, après tout, quoi de plus pratique pour faire le mur et apparaître à l'instant critique face à tes adversaires ? Dans ces moments-là, tu ne t'es pas vraiment fatigué à chercher un pseudonyme ou même un masque très réfléchi. Tout ce que tu veux, c'est que les gens ignorent qui tu es. Tu n'es plus "le fils du maire", tu es Justice. Tu deviens l'incarnation de cette puissance quasi-divine à tes yeux, et tu purges Copenholm de sa vermine -tu fais le boulot de ton père, quelque part. Entre ton père qui n'est pas même fichu de remplir ses devoirs, ta mère qui tolère tous ses excès et ta soeur qui te prend pour un doux dingue, heureusement que tu peux compter sur Jeremy Norbury. Vous avez quasiment grandi ensemble après tout, et lui au moins comprend ce que tu ressens quand tu lui parles de la personnalité fantasque de ton père. Des fois, tu te prends à rêver de changer le monde avec lui -en commençant par Copenholm bien sûr. Les nuits où tu ne pourchasses pas le crime, tu te débrouilles bien souvent pour le retrouver. Vous prenez même des cours d’arts martiaux ensemble, même si vous évitez le plus possible de vous retrouver face à l’autre. Toi, pour compenser l’absence de puissance de ton pouvoir, et lui pour le simple loisir. Ca fait quelques années maintenant, et c’est devenu votre rendez-vous fétiche. Des rendez-vous, tu en as aussi avec Scarlett Osborne, l’une des journalistes les plus en vogue de Copenholm… enfin, uniquement sous ton identité héroïque. Entre ta liberté de mouvement et son odorat inégalable, aucun Vilain ne peut échapper à votre duo, tu en es convaincu. Même ta Némésis finira par tomber sous le joug de la Justice.
NOM Predef
Accedat huc suavitas quaedam oportet sermonum atque morum, haudquaquam mediocre condimentum amicitiae. Tristitia autem et in omni re severitas habet illa quidem gravitatem, sed amicitia remissior esse debet et liberior et dulcior et ad omnem comitatem facilitatemque proclivior. Iamque lituis cladium concrepantibus internarum non celate ut antea turbidum saeviebat ingenium a veri consideratione detortum et nullo inpositorum vel conpositorum fidem sollemniter inquirente nec discernente a societate noxiorum insontes velut exturbatum e iudiciis fas omne discessit, et causarum legitima silente defensione carnifex rapinarum
NOM Predef
Accedat huc suavitas quaedam oportet sermonum atque morum, haudquaquam mediocre condimentum amicitiae. Tristitia autem et in omni re severitas habet illa quidem gravitatem, sed amicitia remissior esse debet et liberior et dulcior et ad omnem comitatem facilitatemque proclivior. Iamque lituis cladium concrepantibus internarum non celate ut antea turbidum saeviebat ingenium a veri consideratione detortum et nullo inpositorum vel conpositorum fidem sollemniter inquirente nec discernente a societate noxiorum insontes velut exturbatum e iudiciis fas omne discessit, et causarum legitima silente defensione carnifex rapinarum
NOM Predef
Accedat huc suavitas quaedam oportet sermonum atque morum, haudquaquam mediocre condimentum amicitiae. Tristitia autem et in omni re severitas habet illa quidem gravitatem, sed amicitia remissior esse debet et liberior et dulcior et ad omnem comitatem facilitatemque proclivior. Iamque lituis cladium concrepantibus internarum non celate ut antea turbidum saeviebat ingenium a veri consideratione detortum et nullo inpositorum vel conpositorum fidem sollemniter inquirente nec discernente a societate noxiorum insontes velut exturbatum e iudiciis fas omne discessit, et causarum legitima silente defensione carnifex rapinarum